Voici une sorte de projet minute, mini spaghetti en HOe
L'objectif est modeste: obtenir quelque chose qui "roule" en très peu de temps pour un coût relativement faible.
Soit un total de moins de 130 Euros pour cette première partie de la construction.
Matériel utilisé en sus du matériel acheté:
Le polystyrène extrudé en plaque dense de 50mm est suffisamment rigide pour une application modélistique. Qui plus est, les plaques sont collées les unes sur les autres ce qui augmente encore la rigidité. Les plaques de 40mm ou moins sont plus faciles à travailler mais demandent plus de temps pour obtenir le relief désiré. Ici le plan a été jeté sur du papier quadrillé en 5mm, à l'échelle 1/10, les plaques en 50mm simplifient donc les calculs ! (5mm sur papier = 50mm réels)
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Un repérage simplissime mais supposé efficace est appliqué... Repérage que j'ai été amené à refaire pour cause d'erreur d'utilisation de ce dernier avant découpage.
Avec un peu d'attention le problème ne se pose pas et le repérage devient vite utile voire indispensable !
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Un positionnement sommaire à plat permet de vérifier la faisabilité d'un tracé probable. A cet instant précis, le tracé est suggéré plus qu'arrêté, conformément aux essais sur papier. Les voies flexibles Roco sont posées et
maintenues par des épingles. Les épingles peuvent s'enfoncer assez loin dans le polystyrène sans le marquer. De plus elles peuvent être enfoncées de travers -- a contrario de punaises dans du contre-plaqué par
exemple -- ce qui assure le maintien de la voie en position horizontale malgré les efforts qui s'exercent. Tout ceci permet de tester le passage satisfaisant de quelques wagons après correction de quelques courbes trop serrées.
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La rivière encaissée qui justifie ce module et son intérêt a priori est tracée sur la deuxième plaque au marqueur. Ne pas chercher les complications: choisir un tracé découpable au cutter !
De toute façon la nature fait aussi au plus simple ! La géométrie de la rivière est par contre fixée par le besoin de suivre la voie du regard par la suite.
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Si la première plaque n'est pas découpée pour servir de support à l'ensemble, les suivantes le seront en essayant d'évider pour gagner en masse totale sans trop réduire la résistance à la torsion. Ici une petite épaisseur de
polystyrène est conservée à ce stade à chaque extrémité de la rivière. Ce sera insuffisant et durant les manipulations ultérieures ce pont mécanique cédera en partie amont de la rivière. Cette dernière apparaît trop étroite après
la première découpe et la découpe est reprise au cutter. Le polystyrène ne coûte pas trop cher. En cas de grosse erreur, une autre plaque eût put être prise, celle-ci servant alors de grandes chutes pour les usages ultérieurs.
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La rivière est bien encaissée et pas ridiculement étroite. On eût pu faire une gorge très étroite mais alors les voies n'auraient pas été visibles ce qui est contraire à l'esprit de jeu !
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Sous un autre éclairage, la dimension semble toujours correcte. Ne jamais oublier que le module ne se regarde pas d'un poste fixe ni toujours dans les mêmes conditions !
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La chute de la rivière me donne des idées pour réaliser facilement des reliefs légers par la suite !
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La suite se réalise de la même manière ! La troisième plaque est même plus facile à réaliser que la deuxième car il n'y a plus de contraintes de rigidité et la plaque peut être traitée en deux morceaux séparés.
Les pentes sont générées par un biseautage au cutter qui sera repris si besoin est ultérieurement. La encore la plaque est évidée. A partir de maintenant il devient évident que la deuxième plaque a été trop évidée.
Il faudra remplir l'espace pour le passage de la voie cachée.
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La rivière vue de plus près: il n'y a pas d'aberration flagrante. Nous avons bien affaire à une gorge... qui ne prend pas trop de place sur le module !
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Comme les plaques sont réversibles, il est aisé de recopier le tracé de la rivière avant découpe. Il faut alors ajouter (ou retrancher !) ce qui convient pour prendre en compte la pente du terrain localement.
Ceci peut se faire in situ.
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Après pose de la quatrième plaque, il devient utile de procéder à un placement de la voie qui sera à ce niveau pour vérifier les cotes retenues...
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et faire des essais d'optique ! Rien ne vaut en effet les tests grandeur nature !
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Comme prévu il faut faire une rampe. La solution retenue est de la faire par ajout de polystyrène. La pente est générée dans une chute coupée en biseau. Cette stratégie pourrait bien être revue en prenant en compte le profil de la deuxième voie. A noter: mon auriculaire sert de guide -- il suit la voie -- pendant que le feutre marque la découpe. L'angle de la main permet la gestion ad hoc des distances. C'est de la mesure pifomètro-mano-optique !!! En reprenant une parallèle au premier trait fondé sur une distance constante à la voie, il est aisé de repérer la plate-forme de cette dernière. |
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Voici le résultat fondé sur l'usage direct d'une plaque de 50 mm pour un peu plus de 500 mm de voie, soit 43m5 réels et une rampe de 10%.
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Le même avec une photographie sans flash. A priori, c'est tout bon ! Vérifions sous un autre angle...
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Hélas, mille fois hélas, la pente est bien trop forte ! Si elle n'est pas incompatible dans la réalité avec la voie étroite, il n'en demeure pas moins que de visu, sans modification, ça ne sera pas terrible !
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Une vérification s'impose: est-ce vraiment moche ?
Comment reprendre la pente ? Faut-il la reprendre ?
Le positionnement général est-il correct hors ce problème de pente ?
Il faut pouvoir répondre à toutes ces questions.
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Vérification en cours: prise de vue "de l'arrière".
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Vérification en cours: prise de vue "dans l'axe".
La solution consistera à abaisser davantage la voie de gauche et à réduire la rampe de celle de droite.
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Vue du ras du sol (fa dièse si vous préférez), la rampe est clairement surdimensionnée.
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En fait, sur la photo précédente, la reprise avait déjà été faite.
Une cale servant à illustrer mon propos.
Voici maintenant la pente ramenée à de plus justes proportions. Il convient de noter au passage l'aspect général des voies qui ne me choque pas.
Ca ne peut pas être loin d'un plan de voie probable, presque réaliste.
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Assez parlé de la rampe montante, passons à la descendante ! (vue de la gare ou de la déviation bien entendu). Nous utilisons ici une toute autre approche qui se révèle nettement plus simple. Le polystyrène est relativement flexible... Utilisons donc cette propriété à notre avantage ! |
La voie est posée et épinglée. Le cutter n'a plus qu’à suivre. La plaque se découpe très facilement sans faire d'à-coup. De plus, en faisant attention, on évite les dérives du cutter.
Noter toutefois qu'au cours de ces découpes et pour cause d'achat initial de cutters bas de gamme, j'ai consommé un paquet de lames et ai explosé les sécurités de trois cutters.
J'en ai finalement acheté un de milieu de gamme... mais après la photo 51 !
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La découpe s'effectue de nouveau au jugé. Nous ne réalisons pas ici une copie d'un site existant mais un module imaginaire pas trop irréaliste ! |
Essai de réalisation d'une rampe en appuyant sur l'extrémité libre du polystyrène -- la plaque sous jacente a été découpée au niveau du support de voie de la plaque en cours pour laisser la possibilité de régler la pente.
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La prise de vue au flash ne décèle pas de grosse erreur de jugé.
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La vue de face confirme cette impression. Les pentes sont réalistes et l'aspect de la bifurcation acceptable. On peut espérer obtenir des effets sympas!
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Le module étant étroit, il a fallu sacrifier au confort d'installation pour que la suite puisse prendre place. Il sera nécessaire de prévoir un mur de
soutènement ou quelque chose de similaire. Une bonne occasion de faire dans le décor !
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Une vue rapprochée s'impose. L'espace entre les deux voies doit permettre à un train circulant sur la voie inférieure de passer sous un pont supportant la voie supérieure.
Il n'y a pas beaucoup de marge mais nous sommes en voie étroites et les infrastructures sont plus légères. De toute façon la compagnie n'avait pas les moyens de s'offrir mieux !
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Ici la voie sur la troisième plaque vient longer la quatrième plaque. Cette dernière est découpée en fonction du positionnement de la voie épinglée qu'elle surplombe. La méthode décrite précédemment est de nouveau idéale... à condition de l'adapter à la situation du moment ! |
Une vue de dessus permet d'apprécier l'organisation des voies à cet endroit. La voie descendante passe devant pour respecter deux critères:
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La découpe se fait comme annoncé. L'auriculaire est simplement remplacé par un tronçon de voie et tout est effectué à l'œil.
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Si l'extrémité du tronçon de voie est à l'aplomb de la voie sur la troisième plaque, alors le stylo feutre positionné idéalement au départ, suivra le contour désiré. La seule contrainte est de bien positionner la quatrième plaque. |
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Après ajustement à l’ œil, le tracé de la voie supérieure permet de vérifier les hypothèses de positionnement.
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La encore, un marqueur suffit à la tache. La marche de 50mm entre la quatrième et la cinquième plaque est compatible avec la rampe réalisée.
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La chute est ajustée à la bordure de la rivière par un simple coup de cutter.
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La reprise de pente après le pont supérieur est nécessaire. Celle-ci apparaît clairement sur cette photographie. L'aspect de la gorge sera repris ultérieurement. Il est bien trop "rigide"!
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Le positionnement de la future découpe doit être fait assez précisément et des essais à l’ œil sont nécessaires.
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La position requise est retenue. La voie est pressée sur le polystyrène. La marque ainsi générée suffit à atteindre l'objectif requis.
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Les cutters sont des instruments très sympathiques. La lame totalement sortie peut se courber mais aussi, comme c'est le cas ici, servir de guide.
L'angle est imposé à vue dès le départ et en tirant régulièrement le cutter, celui-ci effectue la découpe requise jusqu'a l'autre extrémité de la chute.
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Celle-ci est mise en place pour vérifier son emprise et la régularité de sa pente. Le résultat est acceptable.
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Le positionnement vertical permet de vérifier l'adéquation de la découpe aux besoins.
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La voie est posée sur son support pour vérifier l'existence potentielle de ruptures de pentes qui à elles seules justifieraient un calage, voire une reprise intégrale de plate-forme
L'ensemble ne montre pas de défaut majeur à ce stade sous cet angle. Le croisement avec la voie inférieure est réaliste.
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Vue sous un angle rasant, il n'y a pas de rupture de pente. Le tout est plus qu'acceptable.
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Cette partie difficile étant passée nous pouvons nous attaquer à la suite de la rampe pour permettre au train touristique d'atteindre sa halte supérieure pendant que les trains miniers et d’exploitations
forestières prendront la voie inférieure... Aie ! Au fait, cette dernière... Où va t'elle ? J'ai oublié de la prolonger et ceci me compliquera la vie un peu plus tard. J'en suis conscient mais il n'est plus
temps de revenir sur ses pas, il faut finir la rampe pour avoir une idée générale de l'ensemble. (la voie inférieure entre dans la montagne et reste à plat)
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La rampe en courbe est régulière. Le passage supérieur, qui sera vraisemblablement un pont métallique est simplement remplacé par le polystyrène à ce stade.
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A part la contre boucle qui nécessite un ajustement assez limite du fait du peu de place dont on dispose, la suite de la rampe ne pose pas de problème. Il faut toutefois reprendre la position de la gare en pied de rampe avant bifurcation pour gagner les quelques centimètres qui manquent. Les essais avec des wagons confirment le choix des courbes. Merci tout de même au Hoe -- très tolérant -- et aux épingles qui permettent de repositionner facilement les voies. La halte supérieure est prévue avec un aiguillage. |
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La notion de spaghetti prend ici tout son sens ! (Merci à
Ptitrain
et à nos amis suisses pour cette expression très imagée).
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Une vue générale confirme le bon ratio de l'ensemble dans un espace aussi réduit, à l'exception toutefois de la gare de départ -- point bas -- qui sera réduite à sa plus simple expression faute de place. Notons à cette étape que des extensions possibles sont prévues:
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Une prise de vue suivant un tout autre angle permet de bien apprécier les différents niveaux de roulement. Notre ami Charles de Bordeaux reconnaîtra peut être le petit
locotracteur maison
qui, pour l'occasion, me sert de gabarit !
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Avant de commencer le collage, je préfère m'adresser au dernier élément important qui manque jusqu'à présent, à savoir le profil de la voie du bas après avoir longé la rivière. Je souhaite faire partir cette dernière sous la montagne mais avec une possibilité de reprise ensuite en cas de prolongement. Quoi qu'il advienne il me faut prévoir un accès. J'utilise avec succès mon nouveau cutter ! |
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Maintenant que les deux plaques (3 et 4) sont coupées, l'empilement pour la dernière rampe vers la montagne doit être changé en quelque chose de nettement plus stable. Ce n'est pas au menu du jour ! On aperçoit en arrière plan le passage supérieur simplement simulé par une découpe dans le polystyrène. C'est fou ce qu'une simple découpe barbare améliore l'aspect ! |
Les plaques du dessus ont été déplacées grâce à l'aide de ma chère et tendre. La plaque numéro 2 est posée sur la première. La colle est de sortie ! |
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On en profite pour vérifier si une rampe est possible. A priori oui. Il faudra biseauter l'approche pour permettre à la voie du bas de continuer sa descente régulière. La rampe permet de conserver la quatrième plaque sans découpage pour gagner en rigidité ce qui facilitera la mise en place ultérieure des reliefs. |
Je procède au tracé des pourtours pour ne mettre de la colle que là où c'est vraiment nécessaire. Il faudra ne pas en mettre là où le polystyrène sera ensuite éliminé. |
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C'est tout simple... il ne reste plus qu'à encoller. Ce que je fais sans prendre de photo... Grrr ! |
Je profite de ce premier collage pour découper la plaque située au dessus de la nouvelle rampe. L'accès doit être facile car c'est là précisément que les trains dérailleront. Ne me demandez pas pourquoi, mais c'est ainsi ! (et ceci d'autant plus que je n'aurais pas pris de précautions !) |
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MIMO ! L'emballage de céréales, découpé sommairement à la main, roulé sur lui même, écrasé, et finalement collé à son extrémité par une bande adhésive... fait une bonne spatule jetable ! (Elle n'est pas encore jetée car elle fonctionne bien !) |
La colle est déposée sans être trop étalée car les plaques de polystyrène sont alvéolées. En répartissant la colle sur les zones disponibles sans pour autant faire un collage continu, la structure est résistante. Il n'y a pas beaucoup de contraintes sauf pendant les déplacements. |
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La colle est en place. Ni trop, ni trop peu. |
Il n'est pas conseillé de mettre de la colle trop près des bords car, lors de la mise en place de la plaque, la colle en surplus sort, ce qui génère du travail supplémentaire ! |
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Le travail se poursuit sans difficulté. Penser toutefois à repérer les positions des morceaux de polystyrène plus petits (au marqueur) avant de procéder à leur démontage puis à leur collage. |
Une grande quantité d'épingles a été récupérée au cours de la dépose des voies et rampes en polystyrène. Je les ai piquées dans les plaques disponibles pour non seulement pouvoir les réutiliser plus tard mais aussi pour ne pas donner l'occasion à mon aide de la première photo de jouer à des jeux dangereux ! Ma grande fille Camille, qui venait de terminer un dessin, m'a offert son aide. Toutes les épingles sont maintenant dans un ex-flacon à épices. Elle veut faire circuler le train et est assez impatiente à ce sujet ! |
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Finalement la voie du bas file sous la montagne via une rampe et non à plat comme initialement prévu, ceci pour réduire l'impact sur la solidité de l'ensemble, la plaque supérieure est conservée sans découpe. |
Las! las!... Il ne faut tout de même pas s'imaginer que tout va s'ajuster de soi-même! Il faudra raboter la partie haute. |
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Mais aussi la partie basse! |
Et finalement prolonger la rampe en amont. Evidemment, les plaques sont maintenant solidement collées et la découpe ne s'effectue pas dans les meilleures conditions! |
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La voie est posée très provisoirement ce qui permet de repérer l'épaisseur à éliminer. |
La méthode décrite précédemment est reconduite puisqu'elle avait donné de bons résultats. Une marque est faite sur le polystyrène. |
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Après découpe l'aspect général est meilleur. |
Mais il faut toujours ajuster la rampe. Pour ce faire une cale est glissée sous la poutre de polystyrène alors que la voie est laissée libre. La cale est en bonne position lorsque le jour disparaît entre la voie et le polystyrène. |
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Ce point réglé, il faut tout de même vérifier ce pourquoi cette rampe a été réalisée. Il s'agissait de ne pas trop affaiblir la structure supérieure en évitant une découpe intégrale de la plaque. Le petit locotracteur passe. |
Nous reprenons notre travail de collage. Ma fille qui m'a aidé pour la rampe souterraine, assure maintenant une pression sur la première rampe de la voie supérieure. |
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Je viens de me souvenir que j'avais des mains! Il faut donc les prévoir en cas de déraillement, d'ou cette reprise en force du passage souterrain à la jonction potentielle avec le... futur! Remarquer le marquage au dessus de la plaque: la simple cale qui soutenait la rampe est remplacée par une autre beaucoup plus grande. Cette dernière renforcera la plaque suite à sa fragilisation. |
Revenons à nos moutons. Il faut maintenant songer à la réalisation de l'alimentation électrique. Pour ce faire la stratégie que j'avais adopté dans un épisode précédent (Village Autrichien) est reconduite. Des tubes en plastique amènent les câbles électriques à domicile. Ces gaines guident les câbles au montage mais aussi en cas de réparation. Reste que pour les maintenir et les faire déboucher, il faut des trous à dimension. Un bout de gaine suffit à condition d'y pratiquer quelques encoches pour rendre l'extrémité coupante et s'en servir... |
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comme d'un trépan! |
Voici le résultat qui est exactement ce qui était recherché. Le tube coupe le polystyrène et ce dernier vient se loger à l'intérieur. Il ne reste plus qu'à le sortir comme on sort une carotte de forage en prospection minière par exemple. |
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La montagne a été omise... et plutôt que de coller une plaque complète en dessous du module ou encore de passer les câbles sous ce dernier,
une saignée est pratiquée au sein de la première plaque pour l'ensemble du câblage nécessaire:
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Ceci donne une idée du faisceau à prendre en compte. Il n'est pas aussi compliqué qu'il n'y parait! Il faudra toutefois repérer les câbles! |
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La connectique achetée, rien ne vaut une petite vérification. Ma fille Camille m'aide pour ce travail. Surprise! Les câbles Péritel présentent un câblage partiellement croisé
(dont je n'ai toujours pas pigé la logique, soit dit en passant!). Heureusement, l'adaptateur femelle-femelle fait exactement le contraire, ce qui va de beaucoup me simplifier la vie!
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Le câble est coupé et dénudé. La partie longue descendra du module par terre pour éviter les contraintes mécaniques. La partie courte partira du boîtier de commande. Une rallonge pourra être ajoutée si besoin est. |
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Les fils sont maintenant soudés aux deux plaques qui permettront la distribution adéquate des commandes et le départ des fils dans les tubes. |
Le câble est simplement injecté dans le tuyau. Du talc pour bébé est utilisé à cette occasion pour faciliter la tâche. Attention toutefois à ne pas vriller le câble au préalable. L'espace disponible dans le tuyau est petit et la moindre déformation du câble engendre des efforts tels qu'il est impossible de pousser le câble sur plus de 1,5 mètres. Les grands tuyaux qui vont sur la montagne font 2 mètres. Commencer par les grands tuyaux est la règle! Si un blocage se produit, il suffit de sortir le câble et de l'utiliser dans des tuyaux plus courts. Ainsi, rien n'est perdu! J'ai été un peu juste sur la longueur, les 20 mètres sont déjà consommés par le faisceau actuel (Image 80). |
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Le câble ressort à l'opposé, comme il se doit de faire pour nous faire plaisir!!!. |
La poudre pour bébé est d'une aide précieuse. En verser dans le creux de la main gauche, en mettre dans le tube, tenir ce dernier avec la main droite et pousser doucement le câble avec la main gauche dans le tube (assez rapidement au début puis de plus en plus lentement). Eviter à tout prix de froisser le câble car chaque défaut le rend plus difficile à insérer. |
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Cette fois-ci, c'est un câble de puissance (2x0,8 mm2) qui a été passé. Plus rigide, il a nécessité davantage de travail. Le câble ressort avec un peu de talc. Ce qui n'est évidemment pas un problème. |
Merci encore a ma chère et tendre qui m'a indiqué à juste titre que j'oubliais de faire des photos! Comme il faut refaire la rampe supérieure pour l'évitement, j'en profite pour la refaire intégralement dans une plaque à peine entamée en m'aidant des morceaux déjà réalisés. J'aurais ainsi moins de risque de "cassure" dans la pente. |
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Le câble d'alimentation de la partie amont de la voie supérieure est passé. Le pot de colle maintient la rampe en place car elle n'est pas collée pour le moment. |
L'alimentation de l'évitement ainsi que les signaux et sans doute un lampadaire nécessitent un large passage de câble Celui-ci est découpé au cutter. |
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Les câbles sont passés en groupe, il y a de la place (y compris une réserve pour un ou deux câbles supplémentaires si besoin en était) |
Les câbles de la partie supérieure du module sont passés. Il reste à s'occuper de la voie souterraine. |
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Vu sous un autre angle, on aperçoit la jungle sous la surface du module! |
Les câbles sont sortis pour la première fois. A ma grande surprise, il n'occupent pas tant de place. Il devrait être possible de les connecter in situ comme prévu! |
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Une bande de ballast est découpée pour réduire la transmission phonique du passage des trains. Le module fera caisse de résonance. La découpe se fait en repérant in situ puis en superposant deux morceaux avant de les couper comme on coupe la moquette d'une pièce aux raccords: découpe des deux morceaux posés l'un sur l'autre à la fois (pour avoir une jointure parfaite). |
Le résultat avant découpe d'ajustement en fonction de la pose de la voie et de la position des ouvrages d'art. |
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La voie est de nouveau posée provisoirement. Le tracé pour la découpe se fait aisément. |
Le cutter est maintenu fermement et incliné a environ 45 degrés. La coupe s'effectue à peu près à deux millimètres du tracé au feutre. |
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La bande prend alors l'aspect requis pour être ballastée. Pour se représenter l'intérêt de la chose, une seule feuille de liège d'isolation de bonne qualité est nécessaire au module, soit une dépense inférieure à un Euro. |
Avant de se lancer dans la fabrication de ponts "maison" (il en faut 5 pour le module), j'acquière trois ponts de Noch qui ont le mérite de s'emboîter donc d'être montés en une dizaine de secondes chaque et ceci sans colle! |
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Ah! Ah! Ah! La bonne blague! J'ai oublié de vérifier la longueur minimale d'un train touristique commercial! La plus petite Roco à vapeur associée à une jolie voiture Lilliput fait 62+96 = 158 mm! Il me faut donc déplacer mon aiguillage vers le bas! |
Les éléments de ballast ainsi générés sont maintenus en place par des épingles. Ils seront collés un par un ultérieurement. |
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La courbe serrée de la voie supérieure est ainsi réalisée. |
La section d'évitement est agrandie pour tenir compte de la petite contrainte de longueur des convois ignorée jusqu'ici! |
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La bande de liège est ajustée en fonction de la courbure et de la pente à donner à la voie du bas. Ceci est incompatible avec les ponts achetés. Il faut donc trouver une autre solution! |
Les deux voies sont pré-ballastées. Les ponts en arrière plan montrent la nécessité d'envisager une structure plus courte pour la voie du bas! |
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Là encore, une solution provisoire est retenue: réaliser un pont dans une chute de polystyrène. Le doigt guide le crayon! |
Le dessin est ajusté au levé. Le cutter commence son oeuvre! La partie en retrait est coupée en dernier. |
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Il faut rétrécir la largeur du pont. |
Qui peut alors se mettre en place! Il faudra réajuster les abords et bien caler la pente en amont. |
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Retour à la colle! C'est Camille qui s'y colle! |
Le liège se colle très bien même avec peu de surface de contact (les arrêtes de la structure du polystyrène). Il faut dire qu'il n'y a pas d'effort mécanique a prévoir! |
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La mise en place du pont de la voie basse s'accompagne de la suppression des éléments latéraux de la deuxième plaque. |
De plus près, le pont a nécessité une légère reprise de la rivière pour pouvoir en poser les piles! Une petite chute de polystyrène a fait l'affaire! |
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Ma fille Camille termine l'encollage de la plate-forme en liège. |
La rivière a pris un autre aspect, il va falloir maintenant songer à faire son relief pour ne pas avoir à jouer autour des ponts déjà montés. C'est le difficile choix du modéliste amateur: voir les trains rouler le plus vite possible quitte à passer plus de temps ensuite sur le décor au risque de casser quelque chose ou, finir les points essentiels du décor puis passer à l'installation de la voie! |
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Il est temps maintenant de préparer les aiguillages. Un multimètre permet de vérifier les connections. Ma fille en trouve une que je n'avais pas soupçonnée et qui me sera fort utile. Un fer à souder, de la soudure et quatre triplets de fils seront suffisants. Ils sont coupés volontairement plus longs que nécessaire pour pouvoir les raccourcir et garder de la marge en cas de démontage. Le gros cutter est de sortie. |
Il sert a griffer les connections pour augmenter l'adhérence de la soudure. |
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Essai: piloter l'aiguille avec un FAM. Soudure sur une lamelle de métal… vernie! Même griffée, ça ne marche pas bien! |
Essai de décapage avec un produit du commerce! |
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On peut comparer avant et après… |
La soudure de droite s'est nettement améliorée, le support et la stratégie sont hélas aussi à améliorer! |
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Mais le résultat fonctionne. Je dois donc pouvoir obtenir quelque chose de satisfaisant par tâtonnement successifs! |
La découpe s'effectue sans problème et le résultat ne se fait pas attendre. Robuste, pas cher, simple à réaliser, il a tout pour plaire! |
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Je viens d'acquérir un jeu de ressorts pour compléter le montage. Il me faut tout d'abord tester leur raideurs respectives. (compter 0,30 Euros par ressort coupé à la dimension requise). Celui-ci vient d'une pochette d'essai du FAM Pro-rail. |
Un repérage succinct permet de marquer les lignes de coupes et approximativement les trous à percer. Leur position n'a pas à être précise, l'ajustement se fera au montage sous l'aiguillage. |
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Le perçage peut avoir lieu. Notez que bien que mes points fussent alignes, au départ il y a un écart notable. J'ai trop appuyé sur le manche du pied de perçage et ai fait glisser le forêt. Ce n'est pas gênant pour la fonction finale. |
Pour la découpe, un disque à tronçonner est idéal. Il faut absolument se munir de lunettes de protection. Ca n'a pas raté, comme j'ai coupé à main levée, un des disques s'est volatilisé ne laissant que son moyeu! Les lunettes évitent aussi les projections de limaille. |
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Il convient d'ébavurer les pièces qui devront coulisser librement. Toute aspérité est à éviter. Une bonne pince et une bonne petite lime font le travail! |
J'ai besoin de 4 pièces mais j'en ai fait 6. Une est ratée, il en reste une de réserve. La clef du mandrin de la perceuse miniature donne l'échelle. |
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Je ne dispose que de quinze minutes. Préparer les aiguillages est une activité idoine dans ce cas. A l'aide d'une pince plate, j'enlève les éclisses métalliques pour les remplacer par des isolantes de la marque Roco pour 3,20 euros les 24. Le cutter permet de séparer les éclisses qui se présentent en grappes mais aussi de supprimer les éléments de motorisation du constructeur qui sont vraiment gros et moches! Il reste de la marge pour améliorer encore mais ça me convient déjà mieux! |
Ca y est! J'ai réussi à consacrer une heure et demi à la réalisation de mon idée. Celle-ci a évolué au cours du temps pour résoudre le point dur de cette affaire: la possibilité de régler le mécanisme. C'est finalement le réglage de la structure fondé sur une seule vis qui l'a emporté sur des méthodes plus compliquées à mettre en œuvre et à l'issue incertaine. Noter toutefois le perçage erroné à gauche! L'espacement entre les deux trous est insuffisant. En utilisant la pièce de réglage et une chute de cornière en U on a un ordre de grandeur des distances à respecter. Il ne s'agit pas de faire de l'ajustement ici! |
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Après avoir soudé la pièce de réglage, il est possible de procéder au montage. Des trous transversaux ont été aménagés pour fixer des tiges lesquelles supporteront les ressorts. |
Le mécanisme ultra simple de réglage en gros plan. La vis, accessible du dessus, permet de régler la distance entre les deux éléments, donc la tension du FAM à venir. On reviendra sur le sujet plus tard! |
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Le système est testé avec succès. Il présente toutefois quelques inconvénients de calage. Nous reviendrons sur le sujet plus tard! (Il y a peut-être une solution mimo ® à trouver! |
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Rappelez-vous nos histoires de ponts! (Photos 47, et de 100 à 114). A l'occasion d'une visite à Stuttgart J'ai découvert un magasin de trains… et des ponts en métal, pas chers, et très fins! En voici un, enfin, son emballage… Il faut bien tenir son lectorat en haleine, non?! |
Grrr! Oui, je sais! Et pour me faire pardonner un peu, je vous livrerais bien un bout de pose de voie… mais en lieu et place de celle-ci, la voie du bas, que j'ai oubliée de prendre en photo, voici le passage d'une colle a polystyrène un peu périmée au fond de la rivière. |
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La courbure de la voie inférieure a été reprise pour augmenter légèrement son rayon. La voie est posée, collée à la colle pour polystyrène préalablement étalée sur le support de voie, et maintenue par des épingles. |
La partie amont de cet embranchement est séparée électriquement par des éclisses isolantes au niveau de l'aiguillage. Cet embranchement est cablé au niveau de l'aiguillage et en aval pour permettre de cantonner par la suite. On aperçoit la fosse de passage de la commande d'aiguillage. |
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La voie amont est amenée et coupée au disque à tronçonner puis limée. Cette pose prélimiaire permet de se rendre à l'évidence… Le pont droit va rendre quasi impossible le passage de la voie. Il faut donc résoudre la quadrature du cercle: soit avoir des rayons de courbure très serrés à la sortie du pont et des déraillements à la clef… soit il faut reprendre la rampe pour que la voie soit quasiment en alignement au niveau du pont. Cette dernière solution est retenue. |
Le gros cutter est passé sous la base de la rampe qui est découpée en petits tronçons. Ces derniers sont réajustés dans une position idoine. Une vérification élémentaire et un calage plus précis sont effectués. Le travail se révèle plus aisé que prévu! |
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La rampe est recollée dans cette nouvelle configuration. L'aspect initial est un peu compromis, certes, mais en contre-partie les trains se tortilleront plus… Ce qui n'est pas pour me déplaire dans le cas d'une voie étroite dotée d'une circulation limitée! |
Evidemment, la plate-forme n'est plus aussi lisse et le maintien de la rampe est plutôt rudimentaire. Dans le premier cas, pas d'inquiétudes… la voie ne se déformera pas pour si peu. Dans le deuxième cas, c'est l'expérience qui parle… Il sera encore temps de coller plus tard! |
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La plate-forme est encollée au doigt (méthode simple et rapide… il suffit de se laver les mains au savon ensuite). L'épaisseur de colle requise est aussi faible que possible (il ne faut pas que le séchage soit instantané tout de même!) |
Un bout de bois de section l'écartement approximatif entre les rails (ici 8 mm pour 9 mm) est découpé à la longueur du pont. Il est positionné pour forcer la voie dans une position rectiligne. Un morceau de carton est encollé et positionné sous la voie, c'est lui qui la maintiendra droite sur cette section. Il n'est pas besoin de prévoir de serrage. |
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Le temps de séchage est mis à profit pour boucher certains trous disgracieux!!! |
Côté cablage… c'est un joli bazar! Mais rien ne semble voir été oublié pour le moment! Il est préférable de cantonner avant plutôt que de devoir le faire ensuite quand tout est déjà en place. |
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Le pont est positionné sur des cales un peu trop modernes à mon goût. Hélas, je n'avais pas prévu ce pont au départ! |
Les cales doivent être biseautées pour permettre la circulation des trains sur la voie inférieure. Heureusement, ceci ne se voit pas, car d'un point de vue mécanique réelle… ce n'est pas réaliste du tout! Un large espace est conservé entre les deux ponts… l'observateur devrait en avoir pour son plaisir! (enfin… j'ose espérer!) |
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Une fois la position et la dimension des cales obtenues, la cale la moins stable est bloquée jusqu'à son collage définitif! Point amusant, j'ai pu réutiliser le morceau de bois précédent! |
Au fait… et le second pont de la voie inférieure? Je souhaitais initiallement y mettre un pont métallique mais un pont en polystyrène pourrait bien faire l'affaire! La découpe s'effectue dans une chute à main levée avec le gros cutter. Le premier résultat est insatisfaisant. Le pont, bien que courbe, est trop grand de cinq centimètres! Ne me demandez pas pourquoi!!! |
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Au deuxième essai, le résultat est correct. Une ou deux petites découpes dans le relief plus tard et le pont est en place. Il a été découpé plus "léger" que le premier pour donner l'illusion de la distance comme décrit dans "Bon baiser de Ferbach". |
Je vais avoir besoin de tourner autour du module… Aussi après l'avoir déplacé sur une autre table, je profite de l'occasion pour faire le ménage! Ceci permet d'avoir la vue générale du moment! |
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Et aussi, de prendre une photo sous un autre angle… Il serait bien de faire "vraiment" le ménage! |
Alors le plus simple est encore de s'y mettre tout de suite! La buse de l'aspirateur dégage toutes les petites particules aussi bien en fond de cours d'eau… Qu'entre les traverses! |
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Vous souvenez-vous? La voie supérieure avait été redécoupée d'une seule pièce pour permettre une meilleure tenue… avec pour inconvénient de présenter une gare supérieure en pente. Il est temps de mettre fin à ceci… si on veut pouvoir parquer une voiture ou un wagon en toute tranquilité! |
Deux coins sont découpés dans le polystyrène, hélas le cutter glisse un peu trop loin… et je crains tout de suite un manque de résistance de l'ensemble... |
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Mes craintes sont justifiées… cinq minutes après la pose! |
Mon bébé François avait tendance à intervenir sur le module, aussi peut-il jouer à proximité… Je le laisse faire! |
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Cela dit, ma fille Camille peut vraiment aider! |
En maintenant en position la gare supérieure. La jonction abimée est recollée. |
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Toute la rampe est maintenant collée par étapes, pour permettre la découpe des ponts. |
Un essai fort sympathique s'il en est! Le second pont métallique est mis en place. C'est du N… et ça passe tout juste! |
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L'emplacement du futur pont est découpé. Il est préférable, même en absence d'un pont adéquat, de préparer l'espace qui le recevra, si possible trop grand, pour éviter de refaire des découpes ensuite. En modélisme, il est plus simple de construire en plus que de détruire! |
La voie peut maintenant être posée vers l'amont. Toutefois, la première partie de cette dernière est déjà en place. Il convient donc d'essayer d'en assurer la continuité de courbure. C'est l'objectif des soudures sur les éclisses. |
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La soudure est correcte et ne dépasse pas sur le rail. Un léger brossage à la brosse à polir avec la mini-perceuse suffira. |
Hélas, un angle est apparu lors de la torsion de la voie. La seule solution, si on ne veut pas cintrer la voie comme le conseille Jacques le Plat, par souci de simplicité ou par absence du matériel adéquat, est d'insérer un coupon courbe. La courbe est parfaite en aval. En amont, la voie n'est pas encore positionnée et un angle est bien visible. Apres positionnement, il va disparaitre. |
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La voie est encollée comme précédemment. Cela dit, comme la première partie avait déjà été posée, il est impossible de conserver le positionnement de la deuxième partie et de l'enlever pour l'encollage. La colle est donc insérée entre la voie et le liège. Il en résulte des surcharges à proximité immédiate des épingles, lesquelles, à l'inverse des punaises, permettent de soulever la voie sans toucher à son positionnement sur prés de deux centimètres de hauteur. |
Un coton tige permet d'enlever l'excédent de colle, de le déposer ailleurs et de lisser le tout a la fin. Cette partie de la voie étant cachée, l'excès de colle, s'il ne gène pas la circulation est sans conséquence. |
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Un coupon de voie est mis en place, là où sera le pont. Hélas, l'orientation rectiligne de ce dernier n'est pas adaptée au positionnement de l'évitement qui vient ensuite. Un essai de torsion à plat de la voie se révèle concluant. |
Une récente arrivée que je vous présenterai bientôt me contraint à allonger la gare supérieure. Cette dernière est réalisée à l'aide de coupons de voie, sans difficulté. Il convient juste de prendre garde de ménager un espace pour le câblage et de s'assurer du parallélisme des voies. |
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Samedi 12 janvier… La première catastrophe! Une grasse matinée jusque neuf heures du matin a donné le temps à mon bébé pour se pencher sur l'avancement du module... Il s'est tellement bien penché qu'il en a tordu le pont. Ce dernier sera redressé avec un défaut de peinture et une soudure en moins. |
Décidément il y a des jours où il faudrait ni rester au lit, ni se lever! Profitant d'un instant de tranquillité, je coupe la voie pour poser ensuite l'aiguillage. J'oublie de maintenir le coupon en place, ça vibre, le disque à tronçonner casse et entraine le rail qui non seulement éclate les tires-fonds mais se vrille, coupant ainsi toute chance de réparation. |
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Le rattrapage se fait en coupant un nouveau coupon préalablement courbé à son extrémité. L'aiguillage est mis en place en simultanée… ou presque: alors que la colle est déjà posée sur la plate-forme, la soudure de l'alimentation du cœur se détache. Elle est reprise sans difficulté. De toutes façons, il était préférable qu'elle lâche avant la pose! |
Un élément facile est posé en amont: 76 centimètres de ligne droite! L'ajustement de la voie se fera dans la partie courbe après mise en place d'un évitement allongé. La voie est maintenue par deux réglettes en cuivre et le haut est sous pression à l'aide d'une petite enclume. |
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Le matériel roulant s'est étoffé. La gare haute peut accueillir sans difficulté la nouvelle venue. |
Un essai pour l'évitement est nécessaire. Tout d'abord il faut assurer la contre courbe des aiguillages. Deux coupons courbes sont achetés à cet effet. Ensuite, il faut ajuster la longueur au plus simple. Côté dévié, un coupon droit est coupé à longueur pendant que le côté non dévié reçoit deux coupons droits. Une seule coupe est ainsi réalisée. Ensuite, approximativement au même niveau sur chaque voie, pour ne couper le ballast qu'en un seul point, les fils d'alimentation sont soudés. Le positionnement des fils d'alimentation de l'aiguillage est aussi effectué. |
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Les découpes dans la plate-forme sont faites et l'encollage peut avoir lieu. Les voies sont posées en effectuant l'alignement à l'œil en premier lieu, puis à l'aide d'une réglette métallique. |
Une photo est alors prise et visualisée. Elle permet de vérifier l'alignement avant séchage complet en vue de rectifier un éventuel défaut. |
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Il ne reste plus qu'une partie de courbe à poser, soit une cinquantaine de centimètres avant de devoir se préoccuper de la gestion des cantons et itinéraires. |
Le dernier coupon de voie est tordu, ajusté, réajusté… il se rebiffe le bougre! Finalement, un petit coup de disque à tronçonner vient à bout des dernières velléités de résistance! L'encollage est classique. Une feuille de carton est toutefois utilisée pour encoller les zones qui ne se soulèvent pas pour glisser la colle sous les traverses. |
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Une vue aérienne permet de découvrir pour la première fois le plan des voies tel qui avait été prédit, ou presque, il y a de cela 180 photos et plus d'un an et demi! |
Une entaille est pratiquée au droit des voies pour permettre le passage discret du câblage. Celui-ci sera repris en dessous pour les opérations ultérieures. |
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La même chose est réalisée au niveau de la gare intermédiaire avec pour ce faire une lame de scie (de jouet!) assez rigide et de petite dimension… |
fait parfaitement le travail. La poussière de polystyrène est aspirée ensuite. Le module est d'ailleurs nettoyé régulièrement maintenant car les premiers tours de roue ne vont pas tarder. |
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Les câbles sont passés et, pour le moment, reliés à des dominos. Ceci permettra des démontages, toujours prévisibles, pendant les phases de test. |
Une attache pour ballon de baudruche, une pince plate, qui sert aussi bien à couper, par pliures répétées au même point en tenant fermement la pince, qu'à plier, et en quelques instants… |
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Des pattes d'accroche MIMO sont réalisées. Les câbles ne se promènent plus… et ceci sans y avoir passé plus de cinq minutes! |
Pour les autres câbles des goulottes sont aménagées et les câbles sont simplement maintenus en position avec des résidus de découpe au cutter du polystyrène. |
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Chaque coupon est testé à l'ohmmètre et tout semble être parfait. Une annotation au feutre est faite au droit du coupon vérifié directement sur le polystyrène. |
J'en profite pour faire une photo de la rampe et de la contre rampe menant à la gare supérieure. Il reste encore beaucoup à faire! (en particulier côté câblage!) |
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Tous les coupons sont sans défaut électrique, tous… sauf le cœur de cet aiguillage. Ce qui est surprenant, c'est que les aiguillages ont été testés plusieurs fois à plat avant montage… Murphy n'a pas fini de nous étonner! Il va falloir découper… |
A part les trains, j'aime aussi Excel… Et je me suis donc amusé à simuler le déplacement de quatre trains en simultanée sur le mini module. Le tout est fondé sur un mélange de données et de macro-commandes. Le tracé est modifiable (gestion dynamique) mais les croisements ont été codés en dur... Je n'avais pas besoin de les coder autrement! Voila donc mes trains qui se promènent en respectant l'occupation des cantons d'une part, mais aussi les itinéraires affectés aux trains. Ainsi, par exemple, un train sur le canton 9, gare supérieure, à qui l'ordre a été donné de descendre jusque la gare intermédiaire bloque tout mouvement d'un train en attente en gare intermédiaire, ceci même si le canton 7 n'est pas encore occupé. |
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La gestion simulée des trains a été établie à partir d'un plan succinct des voies. Ce dernier est réutilisé pour annoter les coupons des connections réalisées et testées. Ainsi il ne sera pas nécessaire de revenir sur le sujet pour établir le plan électrique de fonctionnement "puissance". |
Sur ce jeu de domino, les positions des fils sont établies pour que l'ordre des coupons soit respecté. Ceci simplifiera les tests et la maintenance éventuelle. Ceci d'autant plus qu'il n'est pas exclu que j'en reste à une connectique simplifiée fondée sur les dominos, du moins tant que le module n'est pas en phase de réalisation finale. |
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Le problème du cœur de l'aiguillage occupe mon esprit! Pour couper au mieux, l'idéal est de maintenir la position de la rampe dans son statut actuel, donc en étayant de chaque côté. |
Après découpe, j'utilise mon nouveau jouet… un miroir de dentiste, et son grattoir, achetés pour moins de trois euros dans une droguerie… Quid? La soudure n'a pas bougé et le fil est intact! |
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Une analyse plus poussée est donc nécessaire. La languette serait-elle dessoudée? Non! Elle ne la jamais été.. Il semble que ce soit un jeu de rivets qui fait la connexion… avec du jeu! Du rivet/plot au cœur, le courant passe… Mais pas de la lamelle au rivet! Il va falloir souder ou écraser… Je demande conseil à la liste de Ptitrain! |
Des straps sont préparés. Le premier est réalisé avec de la tige pour ballon gonflable et une gaine thermo rétractable. Il est bien mais trop gros pour les dominos. Le deuxième est réalisé en MIMO ! Des attaches de jouets de Noël soigneusement enroulées par des petites mains du sud-est asiatique... font d'excellents straps pour un coût nul! |
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La première circulation de la petite locomotive Roco est rendue possible… |
grâce à l'utilisation abusive des straps cités plus haut… Le bonheur de faire sa première circulation ne saurait être égalé! Ceci permet au passage de repérer quelques défauts de construction qu'il faut rectifier au vol! |
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Tests dans des conditions exotiques… aves l'alimentation Ptitrain! A noter, bien que cette alimentation soit protégée par une lampe ballast, j'ai tout de même fait un test de court-circuit à l'ohmmètre en reliant les connections "bleues" aux connections "marrons" avant de faire le raccordement à l'alimentation... Ça peut faire rigoler, mais ca s'est révélé utile! Il y avait une erreur de branchement… autant la découvrir dès maintenant, non? |
